• Conclusion

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    La grande œuvre de Jules Verne a été les racines d'un grand arbre, dont les nombreuses branches sont des auteurs, des réalisateurs, des musiciens, tous inspirés par ce maître et qui étendent cet univers jusqu'au ciel, pour dépasser la limite des nuages : ses romans dépassent leur époque. Sous toutes formes et tous formats elle a su s'adapter et s'élever par-delà une limite ; il s'est étendu avec brio dans tant de domaine comme son savoir a pu les utiliser. Et si grand était ce potentiel, que de nombreux autres grands talents ont aperçu sa lueur jusqu'à illuminer l'ampoule du Steampunk. Telle une pieuvre, car il métaphorise parfaitement Jules Verne, cet univers à part entière a atteint la littérature, la musique, les films, le dessin et la peinture, les jeux vidéo, l'animation et même la mode. Le Steampunk se retrouve dans tous les arts : futuriste et victorien à la fois, les machines sont la figure première. Parmi la littérature nous pouvons compter Le Club Vesuvius, de Mark Gatiss : l'histoire se déroule à l'époque victorienne, quitte l'Angleterre pour l'Italie et ses machines explosives qui menacent le monde ; mais aussi le manga français City Hall de Rémi Guérin, où chaque personnage porte un nom bien connu : Arthur Conan Doyle, Jules Verne lui-même, pour une mission où se mêle déduction et vapeur... Parmi la musique nous pouvons compter Avantasia (groupe de Rock Epic dont l'album The Mystery of Time comporte le Steampunk), ou encore Steam Powered Giraffe, trois robot automates chanteurs). La pieuvre s'étend toujours... Tous ces artistes sont là, parsemés dans le temps, pour ouvrir les portes d'une attraction à Disneyland au penchant très Vernien, mais surtout pour offrir de nouveau le rêve des grandeurs, des inventions, et l'envie d'anticiper sur ce qui pourrait être notre futur.

    signature jv


     

     

     

     

     

     

     

     s steampunks